Conseil Départemental |
Agence de l’Eau |
DETR 2022 |
DETR 2023 |
Emprunt |
Autofinancement |
TOTAL |
399 675 € |
658 463 € |
60 000 € |
30 175 € |
250 000 € |
460 966 € |
1 859 279 € |
TOTAL
5800
Traitement débit de pointe: 127 m3/h
Capacité de 253 kg de DBO5/jour
Concentration moyenne DBO5: 17 mg/l
Concentration maximale DBO5: 50 mg/l
Maître d'Ouvrage - Gaxieu
Laboratoire de Contrôle: ARS
Etude faisabilité hydrolique - GPO
Coordination pour la Sécurité et la Protection de la Santé (CSPS) - Tecni Bat
Contrôle Technique - Bureau Véritas
Dépôt Permis de Construire - Bernardy Architectes
Etudes Géotechniques - Ginger CEBTP
Diagnostics Amiante - Qualiconsult
Contrôle autosurveillance - Cereg
Dégrillage : en entrée de station 2 dégrilleurs droits automatiques avec rampe de lavage permettant d'éliminer les déchets grossiers :
- un de 35mm de maille - débit capable 200 m3/h
- un de 6mm de maille - débit capable 127 m3/h
Deux déversoirs d'orage équipent les dégrilleurs en amont et entre eux
Les refus de dégrillage seront compactés et stockés dans 2 containers à roulette avant d'être évacués en centre de stockage
Aération réalisée par des aérateurs mécaniques à diffusion de fines bulles assurant la flotaison des graisses et un brassage efficace
Sables aspirés par un système airlift ( pompe à sable) et dirigés vers une fosse à sable de 3m3 puis pompés par camion hydrocureur
Graisses renvoyées vers lipocycle
Dans le lipocycle la décomposition se fait en deux étapes successives, l’hydrolyse et l’oxydation, à l’issu desquelles les corps gras, « coupés » en petites molécules, deviennent assimilables par les bactéries de l’épuration. Ce traitement ne donne donc lieu à aucun sous produit car la liqueur (ou boue) qu’il produit est renvoyée dans le bassin d’aération de la station où s’achève la dégradation.
Les matières grasses ont essentiellement pour origine :
- le mélange d'huiles végétales et de graisses animales (beurre, margarine, huiles de fritures et d'assaisonnement...) contenu dans les eaux de cuisine. C'est la
source principale puisqu’elle constitue 68 % des graisses d'une eau usée ;
- les eaux vannes : 6 % de lipides dans les excréments humains,
- les eaux de lessive : acides gras contenus dans les détergents anioniques,
- les bactéries : la lyse bactérienne libère des lipides (10 % des constituants de la bactérie),
- les effluents industriels liés aux industries agroalimentaires.
Après les étapes de prétraitements, les effluents sont dirigés dans le bassin
d’aération dans lequel les bactéries de l’épuration « se nourrissent » de la pollution dissoute qu’ils contiennent.
Dans ce bassin les bactéries sont maintenues en forte concentration afin d’accélérer le processus d’épuration.
Une turbine d’aération fournit l’oxygène nécessaire à la respiration des bactéries et assure le brassage de l’effluent et des bactéries, dont le contact est
nécessaire à l’obtention d’une bonne épuration.
Un mélange constitué d’eau, débarrassée de ses matières organiques dissoutes et de bactéries sort du bassin d’aération par surverse, et est admis dans
le clarificateur.
L’étape de clarification est destinée à séparer l’eau traitée des bactéries. On utilise pour cela la propriété qu’ont les bactéries de s’agglutiner
naturellement sous forme de « flocs ». Ces derniers, de densité plus grande que l’eau, décantent au fond du bassin laissant l’eau traitée en surface. A ce stade, le traitement de
l’eau est achevé et elle peut être rejetée sans risque dans le milieu naturel.
Les bactéries se trouvant au fond du clarificateur sont récupérées par une pompe et renvoyées dans le bassin d’aération afin d’en maintenir la quantité
nécessaire et suffisante pour traiter les eaux usées : c’est la recirculation.
Les bactéries en excès, aussi appelées boues, sont extraites du fond du clarificateur et envoyées
vers les lits à macrophytes.
Les lits à macrophytes sont des bassins plantés de « roseaux » dont le rôle est d’assurer
la diminution du volume des boues extraites en se « nourrissant » de la matière organique apportée par les boues. Tous les 5 ou 10 ans, les lits à macrophytes doivent être vidangés des
boues minéralisées qu’ils contiennent.
Débarrassée des boues et traitée, l’eau est enfin propre et rejetée dans la rivière, sans risque de pollution.
Bassin d'aération de diamètre 17,9m sur 3,5m de hauteur d'eau (+ 0,8m) - Volume: 876 m3 - 2 turbines d'aération: puissance cumulée 37kW
Dégazeur de diamètre 2,3m / 4,5m de hauteur
2 pompes de recirculation des boues de 127 m3/h (dont une de secours)
Recirculation des flottants et mousses et évacuation vers la bâche à flottants
Clarificateur de diamètre 16,4m / 3m de hauteur
Ralage de surface - cloison siphoïde - pièges à écumes - évacuation des flottants - raclage de fond
Autosurveillance - Télésurveillance - Débits d'effluents - Prélèvements - Manque d'eau et mise sous tension des pompes - Oxygénation - Déshydratation des boues - Energie électrique
Remplacement boitier électrique - Enedis
Nouveau Bureau du gardien
Armoires de commande
Laboratoire d'analyse
Voirie permettant l'accès de véhicules lourds ( 30 tonnes)
Mise en sécurité des voies de circulation - gardes-corps
Clôture autour des nouveaux ouvrages - 2m de hauteur
Borne d'arrosage pour le nettoyage
Prétraitements
Bassin d'Aération
Bassin de Stabilisation
Clarificateur et Canal de Comptage
Local Technique
Les boues seront pompées depuis le bassin d'aération et envoyées vers les lits de rhyzocompostage
6 lits de rhyzocompostage de 100 m² - bientôt augmentés de 2 lits supplémentaires
24h/24, 7j/7
Pour toute question
04 34 20 30 00
Pour tout dépannage
04 34 20 30 07
SAUR-TSA 60001
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